Alors que sa dernière sortie indexant l’Islam notamment sur le Créateur continuent d3 faire des vagues au Sénégal avec la levée de boucliers des Imams et Prédicateurs qui ont saisi le Procureur de la République pour blasphème et atteinte à un ministère du culte, en Gambie pays d’origine du tonitruant Cheikh Ahmed Youssef Cissé, des autorités religieuses proposent de l’interner dans un asile tout en regrettant l’absence de l’ex président Yaya Jammeh qui en aurait fait une affaire d’état.
pour l’ancien ministre de l’intérieur de la Gambie, « Cheikh Ahmad Ceesay est un grave danger pour la société et que sa place est soit en prison ou dans un asile de fous », après que le prêcheur controversé ait encore dit des inepties sur le Saint Coran et le Créateur. Des propos non seulement faux mais qui sont d’une gravité inouïe .
De retour sur les médias sociaux il y a quelques instants après une longue pause, Mai Fatty a déclaré : « Très récemment, Cheikh Ahmad Ceesay a lancé une nouvelle campagne pour ridiculiser le Coran. Quelques heures plus tard, il a tenté de se rétracter avec des excuses à demi-cœur. Ceesay a affirmé que le Coran contient de nombreuses faussetés et des blagues stupides, et qu’Allah a créé plusieurs analogies dans le Coran qui sont fausses et incorrectes.
« Cheikh Ahmad Ceesay a affirmé que le Coran est comme un scénario de film, avec des scènes irréalistes. Je condamne cette atrocité monstrueuse et déclare que cet homme qui se dit marabout, est un grave danger et une grave menace pour la société et la cohésion religieuse. Il doit être envers à l’asile psychiatrique. Partageons pour annoncer sa folie ! Cette exposition dérangée m’a forcé à sortir de mon congé sabbatique des réseaux sociaux. »
Visé par plusieurs plaintes au Sénégal, Cheikh Ahmad qui a abreuvé d’injures plusieurs autorités religieuses a pris la fuite pour se réfugier en Gambie. Pour rappel,mil y’a quelques mois, le tonitruant bonhomme avait été envoyé en prison pour avoir tenu des propos outrageants sur l’Islam. Il avait recouvré la liberté après un pardon à l’ONG Jamra.
