Expulsée de son appartement : Gabrielle Kane indexe pierre Goudiaby Atepa et Babacar Touré
Dans une sortie médiatique, Gabrielle Kane a décidé de briser le silence qui entourait les récentes accusations portées à son encontre par le propriétaire de la maison qu’elle occupait à Mermoz. L’ex-hébergeuse d’Adji Rabi Sarr, au centre de controverses judiciaires, a choisi de balayer d’un revers de main toutes les allégations, apportant des preuves pour étayer sa position.
Selon Gabrielle Kane, ces accusations ne sont rien de plus qu’une manœuvre orchestrée par Pierre Goudiaby Atepa, l’architecte bien connu, et le journaliste Babacar Touré. Elle affirme que son refus de témoigner en faveur de Goudiaby Atepa après la plainte déposée par la masseuse Adji Sarr pour diffamation serait à l’origine de cet acharnement médiatique.
L’enjeu de cette affaire remonte à la plainte déposée par Adji Rabi Sarr contre l’architecte Goudiaby Atepa, l’accusant de diffamation. Gabrielle Kane, en tant que témoin potentiel, aurait refusé de soutenir la version de Sarr, déclenchant ainsi une série d’événements médiatiques qui mettent actuellement en lumière sa vie privée.
Gabrielle Kane a choisi de riposter en dévoilant des éléments de preuve attestant qu’elle n’est pas redevable d’un centime au propriétaire de la maison, Demba Dia. Elle soutient que cette affaire est une tentative délibérée de ternir sa réputation et de la discréditer, nuisant à sa vie personnelle et professionnelle.
L’ex-hébergeuse a déclaré lors de sa conférence de presse :
« Je refuse d’être la victime de manœuvres orchestrées visant à me faire taire. Mon refus de témoigner dans une affaire qui ne concerne en rien ma responsabilité financière ne devrait pas être exploité de cette manière. Ces allégations sont une atteinte à ma réputation et à ma vie privée. »
Elle a également souligné que cette attaque médiatique vise à détourner l’attention du véritable litige entre Adji Sarr et Pierre Goudiaby Atepa. Gabrielle Kane a appelé à la prudence dans le traitement de cette affaire et à la nécessité de se concentrer sur les faits réels plutôt que sur des spéculations médiatiques