Suisse-Accusations de viol: Tariq Ramadan jubile après son acquittment…
L’islamologue a réagit sur son acquittement contrte de fausses accusations de viols d’agressions par une Suisse. Tariq Ramadan se réjouit de « la reconnaissance de la justice suiss qui vient de prouver non seulement son innoncence mais également le fait que je n’ai pas menti , qu’il n’y ait pas d’agression, que c’est la plaignate qui cherchait à (me) contacter et à (me) séduire » (comme le prouvent toutes les messages retrouvés). » Il réaffirme: « depuis cinq ans, je me bats contre de fausses accusations. Les medias et le jugement populaire m’ont présenté comme un violeur, un agresseur et/ou un prédateur. Aujourd’hui, la justice suisse vient de reconnaître non seulement mon innocence, mais également le fait que je n’avais pas menti (il n’y a pas eu de relation avec cette plaignante), qu’il n’y avait pas d’agression, que c’est la plaignante qui « cherchait à (me) contacter et à (me) séduire » (comme le prouvent toutes les messages retrouvés). » le conférencier répuité poursuit en indiquant en plus « qu’il n’y a pas eu d’emprise, a relevé le Président du Tribunal, car je ne connaissais pas cette femme et que je suis toujours resté très distant. Le dossier genevois a révélé aussi que la plaignante suisse a été en contact avec des protagonistes de l’affaire en France : le nom des trois plaignantes françaises apparaît dans la procédure, avec celui d’une témoin (qui a produit un faux). » Ainsi, constate-t-il « le Président du Tribunal a relevé le fait que la plaignante suisse était en contact avec des personnes dont le but était de me faire tomber et ce pendant plus de quinze ans : il a cité les noms de Caroline Fourest et de Jean-Claude Elfassi qui étaient en contact avec les plaignantes depuis des années. Il était question de salir ma réputation, et d’argent. Je veux remercier ici ma femme, mes enfants, ma famille – au sens large – et tous ceux qui m’ont soutenu avec confiance et patience. Mes avocats à Genève, Me Hayat, Me Canonica, Me Badan et Me Bonnant (pensée chaleureuse et fraternelle), et en France (Me Asmane, Me Ohayon). Avec foi et patience. »
Ameth Seck