Deux autres femmes accusent Antony de violences

Deux autres femmes accusent Antony de violences

Déjà accusé de violences conjugales par son ex-petite amie Gabriela Cavallin, l’attaquant de Manchester United Antony fait l’objet de nouvelles allégations de comportement violent de la part de deux autres femmes au Brésil.

L’attaquant de Manchester United Antony fait l’objet de nouvelles accusations de violence de la part de deux femmes au Brésil, après avoir été accusé de violences conjugales par son ex-petite amie Gabriela Cavallin.

Dans de nouveaux témoignages révélés après la plainte déposée contre l’international brésilien, Rayssa de Freitas, étudiante en droit, affirme avoir dû être soignée à l’hôpital à la suite d’une altercation survenue en mai de l’année dernière. Elle affirme avoir été attaquée par Antony et Mallu Ohana – ex-femme du joueur brésilien Dudu – dans une voiture de l’attaquant mancunien, à la sortie d’une boîte de nuit de Sao Paulo.

L’autre témoignage émane d’Ingrid Lana, une banquière de 33 ans. Elle a affirmé dans une interview à Record TV au Brésil qu’Antony s’était montré agressif envers elle en octobre. « Il a essayé d’avoir des relations sexuelles avec moi et je n’ai pas voulu. Il m’a poussée contre le mur et je me suis cogné la tête », explique-t-elle à la télévision brésilienne.

Accusé de menaces et multiples violences

L’ailier de 23 ans est déjà accusé par son ex-petite amie Gabriela Cavallin de menaces et de violences psychologiques et physiques, des faits démentis lundi par le joueur sur les réseaux sociaux. La Confédération brésilienne de football (CBF) l’a suspendu de la sélection brésilienne, « pour protéger la victime présumée, le joueur, l’équipe nationale brésilienne et la CBF ».
Manchester United a indiqué mercredi dans un communiqué « avoir connaissance des accusations faites à l’encontre d’Antony et note qu’une enquête de police est en cours ». « En tant que club, nous prenons cette affaire au sérieux, en tenant compte de l’impact que ces allégations, et les conséquences qui en découlent, auront sur les victimes de violences. »

Amouradis

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