Urgent: DGID, des éléments de la Dic s’attquerait au bureau de Bassirou Diomaye Faye…

Urgent: DGID, des éléments de la Dic s’attquerait au bureau de Bassirou Diomaye Faye…

La tension sévit à la Direction générale des impôts et domaines. La division des investigations criminelles a fait une descente dans les lieux. Et c’est pour s’en prendre au responsable du Parti Pastef de Ousmane Sonko. La Dic est en train de défoncer les portes du bureau de Bassirou Diomaye Faye, selon les sources de DirectNews. Lui serait reproché d’avoir tenu des propos qui frise l’anthropophagie à l’égard des Magistrats. Des propos jugés extrêmement graves.

Selon lui, « certains magistrats, une infime minorité, se sont donnés comme mission d’égorger, de dépecer et de servir de la viande fraîche d’opposants politiques au Président Macky Sall pour qu’il décide, selon ses manies et ses phobies, à quelle sauce il voudrait les manger. Ce comportement dommageable à la compétition politique démocratique et inclusive et à la paix civile au Sénégal doit cesser. »

voici le texte in-extenso

LA CLOCHARDISATION CONTINUE

Le Président Ousmane Sonko, a jusqu’au 29 avril 2023 pour interjeter appel. Ce délai court toujours. Mais, des magistrats ont décidé de le juger avant l’expiration même de ce délai, à lui, imparti par la loi.

En d’autres termes, ils ont décidé de lui dénier le droit de faire appel d’une décision le condamnant et de reconnaître ce même droit à la partie adverse composée de Mame Mbaye Niang et du Procureur qui, du reste, demeure un intrus dans cette procédure.

C’est un procès contre l’éligibilité du Président Ousmane Sonko. Ni plus ni moins. Et dans cette perspective, l’urgence et la précipitation notées rendent compte d’une volonté de livrer commande, hic et nunc, au prince dont le regard hésitant est figé sur l’échéance du 25 février 2024.

Certains magistrats, une infime minorité, se sont donnés comme mission d’égorger, de dépecer et de servir de la viande fraîche d’opposants politiques au Président Macky Sall pour qu’il décide, selon ses manies et ses phobies, à quelle sauce il voudrait les manger.

Ce comportement dommageable à la compétition politique démocratique et inclusive et à la paix civile au Sénégal doit cesser.

En tout état de cause, force restera à la vérité et au peuple s’il ne veut être soumis, par la force, pendant des décennies et des décennies.

Cette situation arrive à quelques jours du procès en appel entre Mame Mbaye Niang et Ousmane Sonko pourtant une diffamation au ministre du tourisme. Ce sera le lundi 17 avril prochain.

Amadeus

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