Bignona : Des restes humaines d’un garde pénitentiaire retrouvées plus d’un mois après sa disparition

Bignona : Des restes humaines d’un garde pénitentiaire retrouvées plus d’un mois après sa disparition

Porté disparu depuis plus d’un mois à Bignona, le garde pénitentiaire Lansana Diédhiou a été retrouvé mort dans le village de Djikesse.

Nouvelle découverte macabre. Des restes humaines d’un garde pénitentiaire, porté disparu depuis le mois de février dernier, ont été découvertes hier, aux environs du village de Djikesse, une localité située dans le département de Bignona. Le corps sans vie identifié au non de Lansana Diédhiou, était en état de décomposition très avancé.

«La victime était venue à Bignona le 8 février dernier pour les besoins de l’enterrement d’un de ses proches parents. Depuis lors, il avait disparu», selon des témoignages recueillis par Libération. La dépouille de la victime a été découverte derrière l’école primaire de Djikesse. «Ses habits étaient étalés à côté de sa dépouille mortelle. La police scientifique, alertée, s’est rendue aussitôt sur les lieux du drame», soulignent les informateurs du journal.

Les circonstances de la mort de Lansana Diédhiou restent un mystère. Seule l’enquête ouverte par les hommes en bleu de la brigade de Bignona devra élucider les circonstances exactes de la mort du garde pénitentiaire.

Amouradis

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