Quand des chefs d’agence et des gestionnaires organisent une prostituion déguisée «Proxénètes » déguisée dans les banques…
Il se passe des choses étranges dans les banques. De charmantes filles sont la proie des clients gros bonnets, poussées en cela par leurs responsables. Ce qui ressemble fort à de la prostitution déguisée inspirée par des gestionnaires ou des chefs d’agence.
Dans le marketing des banques, de belles et jeunes sont recrutées. A l’accueil, très souvent des nymphes assurent le service. Des objectifs de rentabilité sont fixés aux gestionnaires et chefs d’agence. Pour les atteindre , certains d’entre eux mettent à profit la capacité de séduction de la gent féminine surtout juvénile. Une jeune fille, employée de banque révèle ceci : « à chaque fois que la banque est bondée, notre gestionnaire me demande de faire un petit tour pour me faire remarquer et susciter l’attention de certains clients ». A quelle fin ? Allez savoir. On nous renseigne aussi que les gros clients sont traités souvent par de belles jeunes filles sur instruction de leur patron. Cette dame témoigne : « Un jour, mon responsable m’a demandé de venir m’occuper d’un client particulier qui devait procéder à un chèque de guichet. Je lui ai demandé qu’il vienne en bas au guichet ». Et ajoute-t-elle, sa réponse a été : « tu ne sais pas combien tu perds. Celui-là est un grand DG ».
Ces exemples illustrent à merveille ce qui se passe dans quelques institutions bancaires. Un patron de société raconte : « un jour, j’étais accompagné d’un ami. Nous étions venus faire des opérations bancaires. Mon ami a été impressionné par la beauté d’une employée. Il est parti voir le gestionnaire pour lui signifier qu’il était intéressé par cette fille. La réaction du gestionnaire a été : « je peux te la « placer » pour emprunter le jargon des « boy town ». Et de belles choses se sont suivies.
Beaucoup de jeunes filles travaillant dans les banques n’ont pas de Contrat à Durée Déterminée, elles ont des Cdi, révocables après la durée du contrat. Ce qui les met dans une posture de vulnérabilité. Des responsables tentent de leur faire jouer des jeux pas du tout orthodoxes pour ferrer leurs clients. L’une d’elle témoigne : « Ma forme généreuse constitue un handicap certain pour moi. Je suis victime de harcèlement au sein de mon entreprise. Sans compter que des responsables cherchent à me mettre en contact avec de gros clients qui souvent tentent de me détourner par leur argent. Mon refus a fait que mon contrat n’a pas été renouvelé. Je m’en remets à Dieu ».
En tout état de cause, des employées souffrent en silence pour avoir refusé des comportements déviants même si l’entreprise en tire un profit énorme. Ne dit-on pas souvent que l’argent ouvre toutes les portes ? Du côté des responsables de banque, on rejette ces accusations avec comme réponse : « nous sommes assez bien formés pour ne pas utiliser des méthodes non conventionnelles pour fidéliser nos clients et atteindre des performances élogieuses ». L’opinion appréciera.
Prostitution déguisée dans les banques
Il se passe des choses étranges dans les banques. De charmantes filles sont la proie des clients gros bonnets, poussées en cela par leurs responsables. Ce qui ressemble fort à de la prostitution déguisée inspirée par des gestionnaires ou des chefs d’agence.
Dans le marketing des banques, de belles et jeunes sont recrutées. A l’accueil, très souvent des nymphes assurent le service. Des objectifs de rentabilité sont fixés aux gestionnaires et chefs d’agence. Pour les atteindre , certains d’entre eux mettent à profit la capacité de séduction de la gent féminine surtout juvénile. Une jeune fille, employée de banque révèle ceci : « à chaque fois que la banque est bondée, notre gestionnaire me demande de faire un petit tour pour me faire remarquer et susciter l’attention de certains clients ». A quelle fin ? Allez savoir. On nous renseigne aussi que les gros clients sont traités souvent par de belles jeunes filles sur instruction de leur patron. Cette dame témoigne : « Un jour, mon responsable m’a demandé de venir m’occuper d’un client particulier qui devait procéder à un chèque de guichet. Je lui ai demandé qu’il vienne en bas au guichet ». Et ajoute-t-elle, sa réponse a été : « tu ne sais pas combien tu perds. Celui-là est un grand DG ».
Ces exemples illustrent à merveille ce qui se passe dans quelques institutions bancaires. Un patron de société raconte : « un jour, j’étais accompagné d’un ami. Nous étions venus faire des opérations bancaires. Mon ami a été impressionné par la beauté d’une employée. Il est parti voir le gestionnaire pour lui signifier qu’il était intéressé par cette fille. La réaction du gestionnaire a été : « je peux te la « placer » pour emprunter le jargon des « boy town ». Et de belles choses se sont suivies.
Beaucoup de jeunes filles travaillant dans les banques n’ont pas de Contrat à Durée Déterminée, elles ont des Cdi, révocables après la durée du contrat. Ce qui les met dans une posture de vulnérabilité. Des responsables tentent de leur faire jouer des jeux pas du tout orthodoxes pour ferrer leurs clients. L’une d’elle témoigne : « Ma forme généreuse constitue un handicap certain pour moi. Je suis victime de harcèlement au sein de mon entreprise. Sans compter que des responsables cherchent à me mettre en contact avec de gros clients qui souvent tentent de me détourner par leur argent. Mon refus a fait que mon contrat n’a pas été renouvelé. Je m’en remets à Dieu ».
En tout état de cause, des employées souffrent en silence pour avoir refusé des comportements déviants même si l’entreprise en tire un profit énorme. Ne dit-on pas souvent que l’argent ouvre toutes les portes ? Du côté des responsables de banque, on rejette ces accusations avec comme réponse : « nous sommes assez bien formés pour ne pas utiliser des méthodes non conventionnelles pour fidéliser nos clients et atteindre des performances élogieuses ». L’opinion appréciera.
